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Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat
Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat - Objet de décoration Style Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat - Galerie Lamy Chabolle Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat - Antiquités - Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat
Réf : 120591
12 500 €
Époque :
XIXe siècle
Provenance :
France
Materiaux :
Marbre rose des Pyrénées, marbre blanc de Saint-Béat
Dimensions :
l. 38 cm X H. 131 cm X P. 23 cm
Objet de décoration Colonne Piédestal - Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat XIXe siècle - Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat  - Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat Antiquités - Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat
Galerie Lamy Chabolle
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Mobilier et objet d'art des XVIIIe, XIXe et XXe siècle


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Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat

Paire de gaines en marbres rose des Pyrénées et blanc de Saint-Béat.
Marbre rose des Pyrénées, marbre blanc de Saint-Béat.
France.
131 x 38 x 23 cm.

Le fût de ces gaines particulièrement hautes ont été taillés dans un bloc de marbre rose des Pyrénées. Il ne s’agit donc pas d’un placage. Le chapiteau ainsi que la plinthe sont quant à eux taillés dans un bloc de marbre blanc de Saint-Béat.

La carrière pyrénéenne de Saint-Béat, dont est issu ce marbre « blanc de glace », selon l’expression du sculpteur Marc Arcis, était déjà « connue des Romains […] eut toutes les faveurs et les attentions, par l’espérance qu’elle donnait de pouvoir se passer du marbre statuaire de Carrare. (Mouquin, 2018) » Il était, selon Félibien, devait s’utiliser per angusta ad augusta : « [il] est mal aisé d’en faire des figures, celles qu’on en ferait seraient d’une plus grande beauté que du marbre qui vient de Gênes. »

La difficulté à employer ...

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... ce marbre dans la statuaire explique qu’il tombe en désuétude au XVIIIe siècle, malgré de nombreuses tentatives mercantilistes de l’employer en remplacement du blanc de Carrare, et un court regain d’intérêt au XIXe siècle.

Sources

Sophie Mouquin, Versailles et ses marbres, Paris, 2018.

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