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Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847
Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847 - Tableaux et dessins Style Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847 - Segoura Fine Art Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847 -
Réf : 123227
65 000 €
Époque :
XXe siècle
Signature :
Albert Roberti. 1847
Provenance :
Belgique
Materiaux :
Huile sur toile
Dimensions :
l. 256 cm X H. 172 cm
Tableaux et dessins Tableaux XIXe siècle - Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847 XXe siècle - Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847  - Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847
Segoura Fine Art
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Tableaux, Mobilier et Objets dart des 17e, 18e et début 19e siècle


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Pierre Albert Roberti, La reine Blanche de Castille délivrant des prisonniers, 1847

Pierre Albert Roberti (Bruxelles 13/07/1811 - Louvain 18/12/1864),
La reine Blanche de Castille, régente du royaume, pendant l’absence de Louis IX, délivrant des prisonniers, 1847.

Expositions
Paris, 1847, Salon des Beaux-Arts (n°1384).
Bruxelles, 1848, Exposition nationale des Beaux-Arts (n°767).


Figure de l’histoire de l’art belge , Albert Roberti était un artiste fort réputé de son temps, aussi bien pour ses oeuvres, présentées dans les Salons des Beauxarts
en France comme en Belgique, que pour son enseignement artistique à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles. Son tableau de grand format La reine Blanche de Castille, régente du royaume, pendant l’absence de Louis IX, délivrant des prisonniers, présenté à Paris au Salon des Beaux-Arts de 1847,
puis l’année suivante à Bruxelles, est représentatif de la production d’Albert Roberti réputé pour ses peintures historiques. Au-delà de l’épisode tragique de l’enfermement des paysans ...

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... de Châtenay et d’Orly, il est question pour Albert Roberti de représenter une scène pacifiée ; le conflit résolu dans le calme et la sérénité.


Né à Bruxelles, l’artiste s’est formé auprès de l’incontournable peintre de la capitale belge François-Joseph Navez (1787-1869). Ce dernier avait reçu les
leçons de peinture de Jacques-Louis David à Paris puis au cours de son exil bruxellois. François-Joseph Navez qui dirige l’académie des Beaux-Arts de Bruxelles de 1835 jusqu’en 1854 est responsable de la formation de la
majorité des grands artistes belges du XIXe siècle. Les liens de longue date entretenus entre François-Joseph Navez et la mère de notre artiste, Marie Thérèse Roberti (1787-?), semblent avoir favorisé l’apprentissage d’Albert dans son atelier. Un portrait de cette dernière peint par François-Joseph Navez datant de 1831 est conservé au musée des Beaux-Arts de Charleroi.



Notre tableau date de la période parisienne d’Albert Roberti. Il met en scène la reine Blanche de Castille (1188-1252), mère du roi Saint Louis, personnage féminin puissant de la fin du XIIe et début XIIIe siècles, dont la vie a inspiré de nombreux artistes. Plus précisément, l’épisode de la libération des serfs du chapitre de Notre-Dame mettant en scène la compassion de la reine, retient
son attention comme autrefois celle de François-Marius Granet (1801).


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