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Fragment de colonne torse cannelée en marbre - Empire romain Ve siècle après J-C
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Réf : 78302
3 000 €
Époque :
Avant JC au Xe siècle
Provenance :
Empire romain
Materiaux :
Marbre
Dimensions :
l. 29 cm X H. 57 cm
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Galerie Alexandre Piatti
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Objets d'art, sculptures et mobilier Haute Epoque


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Fragment de colonne torse cannelée en marbre - Empire romain Ve siècle après J-C

Ce fragment provient d’un fût de colonne torse cannelée en marbre. Selon la définition donnée par Louis de Jancourt dans la première édition de l’Encyclopédie de 1751 « On appelle colonne torse cannelée, celles dont les cannelures suivent le contour de son fût en ligne spirale dans toute sa longueur » (Tome 16, p. 434). Ce type de colonnes apparut dans l’Empire Romain aux alentours de 400 après J-C.

Se dédouanant des ordres architecturaux classiques qui ponctuèrent l’ensemble de l’Antiquité, l’architecture de la période paléochrétienne réinvestie tout de même les canons plastiques préexistants. En effet, la colonne est un élément architectonique et décoratif majeur depuis les prémices des édifices grecs. Pourtant, les ordres sont bien établis et ne connaissent que très peu de modifications jusqu’à l’Antiquité Tardive, période qui voie naître une nouvelle ère de ces derniers, comme cela est remarquable dans ce fragment de fût. ...

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... Il est possible de le comparer à deux autres fûts romains datés v. 400-500 provenant certainement de l’ancienne église paléochrétienne de la Daurade à Toulouse et conservés au musée d’Archéologie de Toulouse, le musée Saint Raymond.

Notre fragment a été évidé, certainement dans le but d’en faire un mortier. Cette pratique de remploi d’éléments architecturaux est très commune. Effectivement, d’anciens morceaux d’édifices pouvaient soit être utilisés pour réaliser de nouveaux objets, tels des mortiers, des bénitiers, etc.. et d’autres fois ils gardaient leur fonction initiale, mais remontés afin de s’adapter aux attentes esthétique de leur époque et palier les manques.

Conditions générales de livraison :

Pour chaque souhait d'acquisition, des frais de conditionnement et d'envoi sont à rajouter au montant de l'objet d'art.

L'envoi peut être réalisé en France, en Europe et à l'international.

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