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Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809)
Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809) - Tableaux et dessins Style Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809) - Galerie William Diximus Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809) -
Réf : 120134
19 500 €
Époque :
XVIIIe siècle
Signature :
Joseph Marie Vien ( 1716 – 1809 )
Provenance :
France
Materiaux :
Huile sur toile
Dimensions :
L. 151 cm X H. 122 cm
Tableaux et dessins Tableaux XVIIIe siècle - Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809) XVIIIe siècle - Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809)
Galerie William Diximus
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Tableaux du XVIIe au XIXe


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Académie d'homme, Joseph Marie Vien (1716-1809)

Joseph Marie Vien ( 1716 – 1809 )
Académie d’homme

Né à Montpellier en 1716 , Joseph marie Vien n’était pas destiné par son père à une carrière de peintre mais grâce à une volonté affirmée et après avoir était remarqué par le comte de Caylus et par le peintre Charles Natoire, il monte à Paris avec des lettres de recommandations en 1740.
Travailleur acharné il reçoit une 2éme place au concours de dessin de 1741 puis une 1er place en 1742 qui lui permet de présenter une œuvre pour le prix de Rome qu’il reçoit en 1743.
Peintre intègre il refusa de de céder à un style de scènes plaisantes très en vogue à l’époque, son entrée à l’académie de peinture en fut empêchée mais grâce à l’intervention de François Boucher ( qui mit sa démission dans la balance ) il fut admis en 1754.
Son atelier se remplit de commandes, en effet le style roccoco passe de mode, la peinture de Vien caractéristique du néoclassicisme trouve les faveurs du ...

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... public et en 1772 madame Du Barry remplaça les peintures de Fragonard par celle de François Xavier Vien dans son château de Louveciennes ; 1er peintre du roi, les bâtiments du roi lui commandèrent une série de scènes d’après l’antique aujourd’hui disparu à la révolution.
Son atelier forma un grand nombre de peintres dont le plus célèbre : Jacques louis David est le grand représentant du néo classicisme du début XIXe.
Il meurt en 1809, Napoléon lui offre des funérailles nationales, il est le seul peintre à reposer au Panthéon.
L’œuvre :
Un homme dévêtu se tient allongé sur un rocher recouvert d’un grand drapé , un bâton de voyageur à ses pieds fait penser à un moment de réflexion sur l’existence, mais le lieu rappelle les plaines du Tartare, lieu d’exil de la mythologie.
Le regard porté vers un horizon gris d’où ni le soleil et la nature apporte la vie, seul vision : des rochers froids et sans vie, l’homme est seul et quel faute a-t-il commis ?.
son regard que le spectateur devine affronte cette nature hostile, Le peintre le dépeint plus fort que le sort jeté, il ne s’effondre pas, sa volonté est entière, sa musculature, sa détermination exalte la nature humaine, il espère une lumière.
Cette œuvre est référencée dans le catalogue raisonné page 133 et illustré n° 19a
Joseph Marie Vien, T Gaehtgens et J. Lugand avec le concours du Paul Getty Trust Arthena éditeur
Ses œuvres sont conservés dans les musée de :
Paris le Louvre, petit Palais ; Montpellier musée Fabre, Reims , Lille, Amiens, Cleveland USA, Colombus USA
dimension sans cadre : 95 cm x 130 cm
dimension avec cadre : 122 cm x 151 cm

Galerie William Diximus

Tableaux XVIIIe siècle