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Jean Robert Ango (vers 1710 - 1773) - Lavandières dans les ruines probablement de la Villa Guilia
Jean Robert Ango (vers 1710 - 1773) - Lavandières dans les ruines probablement de la Villa Guilia - Tableaux et dessins Style
Réf : 103095
3 800 €
Époque :
XVIIIe siècle
Signature :
Jean Robert Ango (circa 1710 - 1773)
Provenance :
France
Materiaux :
Sanguine sur papier beige filigrané
Dimensions :
l. 22.5 cm X H. 31.5 cm
Tableaux et dessins Dessin, Aquarelle & Pastel - Jean Robert Ango (vers 1710 - 1773) - Lavandières dans les ruines probablement de la Villa Guilia
Galerie Gismondi
Galerie Gismondi

Mobilier, Objet de curiosité, Peintures XVIIe - XVIIIe siècle


+33 (0)6 13702450
Jean Robert Ango (vers 1710 - 1773) - Lavandières dans les ruines probablement de la Villa Guilia

Jean Robert Ango (vers 1710 - 1773 Rome).
Lavandières dans les ruines probablement de la Villa Guilia.
Signé et daté en bas à droite : « Roberti 1759 »

Confirmation écrite de Madame Sarah Catala (31/08/2017).
Provenance:Collection privée, France.

Bibliographie:Marianne Roland Michel, “Un peintre français nommé Ango”,
Burlington magazine, suppl, l’art du XVIIIe siècle, 1981, dec, n°40.
Sarah Boyer « Quelques propositions autour de Jean-Robert Ango
» in les Cahiers d’histoire de l’art 6, 2008, pp.88-103.

Le thème des lavandières travaillant dans les ruines antiques
est un sujet fort apprécié depuis les découvertes d’Herculanum
et Pompei. GP Panini, H.Robert , Natoire vont dessiner et
peindre chaque lieu de Rome qui offrait un tel propos pictural
et graphique. Notre dessin est à rapprocher du « Fénil de la villa
Giulia » conservée au musée d’Epinal, Les ruines qui ont fasciné
tous les artistes français qui sont venus étudier ...

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... à Rome.
La villa Giulia a été construite pour le Pape Jules III en 1551-
1553 par Giorgio Vasari et Bartolomeo Ammanati et, laissée à
l’abandon au XVIIIe siècle.
La singularité de ce lieu antiquisant se trouve dans les salles vues
en perspectives avec une voûte en plein cintre à caissons supportée par des pilastres corinthiens.
L’oeuvre graphique de Jean Robert Ango durant la période
romaine est bien connu. L’essentiel de ses feuilles illustrant des
monuments ou bâtiments antiques ont souvent été confondue avec celles d’Hubert Robert par leur égale qualité de leurs sanguines.
De plus, la confusion a longtemps été entretenue par la proximité
de leur nom et prénom ; les deux dessinateurs signant « Robert »
et « Roberti ».
Un grand nombre de feuilles romaines du Cabinet des dessins du
Louvre, anciennement données à Hubert Robert, sont en cours de réattribution à Ango.

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Dessin, Aquarelle & Pastel